Un été surréaliste

Si tu as suivi mes précédents posts, tu devrais avoir compris que le virus du Vietnam commence à furieusement instiller mon esprit et mes pensées...

Je lis, me renseigne, vais sur internet me faire de nouveaux potes là-bas... Rencontres improbables qui, si on y regarde bien, n'auraient jamais du se passer, mes recherches ayant atteint le Tao de l'aléatoire, dans une langue que je ne comprenais pas et si c'était en anglais, le mec de la traduction, c'est lui que Google a embauché en bêta testeur vietnamien <->anglais.

Autre coïcidence improbable, un ennui féroce et dépressif au boulot - je n'y ai plus ma place. Je décide donc de m'aérer en août : je partirai à Saïgon (Hô-Chi-Minh-Ville - Thành phố Hồ Chí Minh). D'où ma demande de congés, bien légitime et tout autant méritée.
"Alors comment te dire, sans te faire de la peine ? La réponse est non, pas deux semaines d'affilée".
Entre temps, ces messieurs en blouse blanche décident me refourguer deux stents supplémentaires, histoire de complèter ma collec'. Merci, bisous, cordialement, bonjour chez vous : ça ne sert strictement à rien, je souffre toujours autant.

Je profite de cette nouvelle pause forcée pour m'imprégner de plus en plus du vietnam, testant avec la naïveté de ceux qui croient au destin mais pas en dieu, les forums d'expatriés et de jobs à l'étranger. 

C'est décidé, je partirai en décembre !

Mais il reste une dernière coïncidence surréaliste que te raconterai la prochaine fois...